vendredi 18 mars 2011

pourquoi la révolution Tunisienne va se propager à l'occident

voici les raisons objectif d'une future révolution à l'occident

-l'occident a été développé sur la protection des droits intellectuelles. alors que maintenant on assiste à une prolifération du piratage et de l'imitation des marques.

- l'occident a été développé sur la liberté de l'individu. alors que maintenant on assiste à une surveillance continue de la vie privé et publique de l'individu

- l'occident a été développé par une industrialisation de masse. et maintenant on assiste à une délocalisation de masse de l'ensemble de leur industrie et leur savoir faire acquis pendant des siècles.

- l'occident a été développé sur des ressources naturel interne, abandon et bon marché. maintenant l'occident dépend des ressources naturelle rare, externe et chère . et celui qui ne détient pas son énergie perd son avenir .

- l'occident s'est développé sur une démocratie sociale . alors qu'on assiste aujourd'hui à une démocratie qui défend exclusivement les 'intérêts d'une minorité très riche au détriment de la masse de peuple.

cette masse de peuple ressent aujourd'hui une haine, une frustration et une hypocrisie sans précédente entre le discours et les actes de leurs dirigeants.

Si l'immolation d'un jeune tunisien a été l'élément déclencheur de leur révolution en Tunisie et dans le monde arabe pour dénoncer l'injustice. et Si les même cause donne les mêmes effet, reste maintenant de savoir qu'elle sera l'élément déclencheur de la révolution à l'occident.

vendredi 3 avril 2009

Le G20 et les minoritaires

Au-delà des décisions prises par le « G20 » le 02 avril 2009, une petite réflexion s’impose :
Dans une démocratie les décisions sont prises à la majorité des voix du peuple, et ça fonctionne. Dans une entreprise les décisions sont prises à la majorité des voix de ceux qui détiennent le capital le plus important, et la crise est là.
Prendre des décisions qui concernent tous le monde par les majoritaires en capital « le G20 » sans avoir une procuration des majoritaires en nombres « les 165 autres pays qui ne participent pas au G20 » cala conduit à une autre crise. Du moment que les principes d’égalité ne sont pas respectés et les minoritaires « les 165 autres pays qui ne participent pas au G20 » ont été marginalisés.

vendredi 27 mars 2009

Le temps d’équilibre et le salaire d’équilibre

« Travailler plus pour gagner plus » ce que veut convaincre M. Sarkozy à son peuple, alors que les socialistes demandent davantage des baisses du temps de travail « les 35 heures ».
Entre ces deux extrêmes jusqu’à où on peut aller ?
Entre la limite de maximiser le travail en faisant travailler le salarié 24h/24h et l’autre limite de maximiser le temps de repos en restant chez sois et recevoir un salaire ; certainement il y un temps de travail optimum (le juste milieu). Qui est le temps d’équilibre !

« ….Il ne doit plus y avoir de parachutes dorés. Il ne doit plus y avoir de bonus, de distribution d’actions gratuites ou de stock-options …..pour les dirigeants des entreprises » C’est la conception du capitalisme de M. Sarkozy, les socialistes confirment cette position (implicitement pour des raisons politiques) et demandent pour les « petits » salariés une augmentation du SMIG de 500 euro. Toutefois, les membres du MEDEF sont convaincu que s’il n’y avait pas des stock-options on ne pourra pas avoir des start-up de la « Silicon Valley » tel que (Google, Facebook) qui ont quitté leurs garages pour avoir la dimension planétaire. Quant aux cabinets de conseil ; toute restructuration des entreprises ; ne peut passer qu’avec un seul « antibiotique » c’est la compression des charges salariales.
Entre ces deux extrêmes jusqu’à où on peut aller ?
Entre la limite de fixer une « grille de salaire» identique aux fonctionnaires pour les employés des entreprises et l’autre limite de laisser les dirigeants récolter tous les fruits du « capital et du travail » et faire travailler le reste « gratos » ou esclaves au terme du bon vieux temps; certainement il y un salaire optimum (le juste milieu). Qui est le salaire d’équilibre !


Mais certainement il aurait un temps d’équilibre et un salaire d’équilibre où tous les acteurs économiques trouvent leurs comptes.

Dans une économie de marché le prix d’équilibre est toujours un objectif à atteindre. Maintenant faut il parler du « temps de travail et salaires d’équilibre » ?

1- La notion d’équilibre dans une économie de marché :

L'offre et la demande désignent respectivement la quantité de produits ou de services que les acteurs sur un marché sont prêts à vendre et/ou à acheter à un prix donné.
Ainsi, l'offre d'un bien est la quantité d’un certain produit offert par les vendeurs pour un prix donné.
En général, l'offre augmente lorsque le prix monte; en effet, plus le prix est élevé, plus il a d'incitation pour des producteurs à offrir le bien. Il y a, de même, plus d'incitation pour les détenteurs d'un bien à s'en séparer.
Alors que la demande est la quantité d’un certain produit demandée par les consommateurs ou acheteurs pour un prix donné. La demande tend en général à baisser quand le prix augmente : plus les prix sont élevés, moins les acheteurs sont disposés à acheter.
D’où la loi de l'offre et de la demande :
Dans ces conditions, lorsqu'un bien est vendu sur le marché à un prix pour lequel les consommateurs demandent plus de biens que les entreprises peuvent en offrir, alors le prix du bien tend à augmenter. Inversement, le prix va tendre à diminuer quand la quantité offerte excède la quantité demandée. Le mécanisme d'ajustement du prix et de la quantité conduit donc le marché à atteindre un point d'équilibre.
Ce point de stabilité théorique est défini comme celui où les producteurs sont prêts à vendre la même quantité de biens que les consommateurs veulent acheter.

2- La notion d’équilibre dans le marché du travail

Dans le marché du travail les employeurs (les entreprises) et les employés (salariés) changent et font des permutations de rôle selon quel optique nous prenons (offre d’emploi ou offre de service) :
Si on opte pour l’offre d’emploi : les employeurs y sont désignés offreurs ! Ils offrent (des emplois) et en même temps ils paient ! Et les travailleurs y sont nommés demandeurs (d’emplois). Si bien que, plus il y a de demandes, ou moins il y d’offres, et plus le prix est bas.
Inversement dans l’optique d’offre de service : les travailleurs seront désignés pour des offreurs, et les employeurs des demandeurs (de main d’œuvre, savoir faire, matière grise, etc.).
Quelque soit notre choix de position (offre d’emploi ou offre de service) la loi sera la même (offre et demande), c’est juste un inversement de rôle.

mardi 24 mars 2009

Les nouveaux fonctionnaires du capitalisme

Quant « le capitalisme » sera jugé et programmé par des fonctionnaires, on ne parle plus de « l’économie de marché » mais plutôt de la nouvelle « administration » du marché.

Quant les acteurs du marché (traders, dirigeants, actionnaires) seront rémunérés par une grille comme celle des fonctionnaires, on attend plus de miracle de ce marché.

Quant ces acteurs qui ont fait le bonheur du capitalisme seront jugés de traître, et les fonctionnaires seront les héros, on attend plus de signe de reprise de ce marché.

Pour combler certaines lacunes et faire plaisir au « peuple » on s’acharne aujourd’hui sur les bonus des « traders », les parachutes doré des PDG de « Valeo », les stocks -options de la « société générale » et la liste des condamnés risque d’être plus longues dans les prochaines jours.

L’inflation dans les taux d’intérêts et les crédits immobiliers ont été la source de cette crise, et aujourd’hui on se trouve face à une inflation de la logique des fonctionnaires au détriment de la créativité économique.

Ce n’est pas qu’on adopte l’extrême limite de la pensé pour avoir la solution magique, mais le juste milieu sera suffisant pour résoudre un problème: « Une simple dose sera suffisante pour guérir une maladie, mais une overdose sera mortelle »

samedi 14 mars 2009

Le taux d’intérêt variable et ses otages

« …Faire une relance de l’économie par l’investissement est mieux que de la faire par la consommation. Ainsi, la contre partie des dépenses engagées, se sont des immobilisations dans votre actif. Ces immobilisations seront utilisées dans les années futures par vous et les générations futures. Contrairement à une relance par la consommation ce que vous allez dépenser n’a pas de contre partie dans vos actifs…. ». C’est un principe fondamental de la comptabilité à partie double. A priori c’est raisonnable tel qu’a été expliqué M. Sarkozy .
Toutefois, le choix de faire une relance par l’investissement présente un risque majeur. Et les générations futures peuvent se trouver incapable de supporter le coût de financement de ces investissements (les charges d’intérêts). Et la question qui se pose : est ces investissements sont fait par des crédits à « des taux fixe » ou à « des taux variable » ?
Ainsi, prendre trop de risque ; comme pour un individu ; l’Etat peut courir le risque d’une faillite (Crise économique mexicaine, Crise économique argentine, Turquie etc…). Car il ne faut pas oublier, que la crise actuelle dont le monde souffre encore a été déclenché par la variation du taux d’intérêt voir l’article (http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=52297) et tous les dégâts qui ont été causé se sont que des conséquences de ces taux d’intérêt variable :

1- les risques du taux d’intérêt variable :
Plusieurs mesures de prévention contre les crises ont été programmées et des plans pour relancer l’économie ont décidés. Mais au lieu de réparer et protéger les fondements de l’économie de marché, les politiciens vont chercher un coupable (trader, « hedge funds », paradis fiscaux, agence de notation etc…).
Dernièrement, beaucoup de personne commence à mettre en cause le système de l’économie de marché «Capitalisme», alors que ce système est relativement cohérent, sauf si on respecte certains principes de base. Et continuer à appliquer les taux d’intérêt variable ne peut qu’une entrave aux bons fonctionnements des lois de l’économie de marché.
Comme tous les biens et les services, les crédits et les taux d’intérêts obéissent aux principes de l’offre et de la demande. Ainsi, lorsque le taux d’intérêt baisse, la demande sur les crédits augmente. Et un nombre important de personnes vont conclure des crédits (à taux réduit). Quant le taux d’intérêt augmente par la suite, ces personnes seront dans l’obligation de rembourser des crédits à (ce taux élevés). Car un crédit d’immobilisation par sa nature est remboursable sur plusieurs années (avec un taux qui va passer de réduit dans une période de crise, à un taux élevé quant une majorité de personnes ont déjà engagé par ces crédit à taux variable.Ce qui l’ignore encore beaucoup de personne, ce qu’ils font une confusion avec les promotions et les soldes des magasins (de prêts à porter ou de chaussures ou même chez un restaurateur) , car dans ce type de transaction, vous allez profiter immédiatement de cette réduction de prix (vous allez payer uniquement ce qui est affiché sur le ticket au moment de votre achat de ce bien ou ce service) alors avec une banque vous allez accepter et payer un prix (intérêts à taux variable) qui peut tendre vers l’infini (puisqu’il n’a pas de plafond).
Autrement dit, lorsque vous louez une maison à 3000 euro, vous connaissez d’avance que vous allez payer 3000 euro uniquement. En contre partie le propriétaire de la maison va encaisser que ces 3000 euro. Mais supposant lors du paiement vous découvrirez que le loyer sera de 9000 euro. Est ce que vous accepter de payer telle somme ? Certainement vous allez refuser et juger que le propriétaire est un bluffeur et même un escrot.Toutefois, vous allez accepter d'être arnaqué lorsque vous signez un contrat de crédit avec votre banque. Car vous êtes obligé d’y adhérer, puisque toutes les banques présentent le même formulaire et cela la norme. Et si on n’accepte pas on devient nous anormale. Et de peur d’être ridiculisé, on accepte ce type de contrat avec un taux d’intérêt variable.En effet, lorsque la banque vous accorde un crédit de 15 000 euro, vous allez lui rembourser le principale du crédit (15 000 euro) plus les Intérêts (qui représentent le loyer de l’argent emprunté). Mais ce loyer qui est fixé Initialement à 3000 euro dans le contrat peut atteindre les 9000 euro et même plus.En fait vous avez signé un contrat (avec votre accord bien sur) qui stipule que vous avez accepté un taux d’intérêt de TMM+3% (TMM c’est le taux de marché monétaire équivaut au taux directeur aux Etats Unis majoré 3% qui représente la marge de la banque) sans indication de la limite qui peut atteindre ce taux TMM. Cela veut dire que vous avez accepté un taux variable et signé sur « un chèque à blanc ».En fait la banque vous a transféré le risque de la variation du taux d’intérêt (TMM). Car une personne ne fait recours à un crédit qu’en cas de besoin, et exploité ce besoin par des contrats à taux variable et contraire à toute notion d’humanité.

2- les limites de la loi Chatel :

Même La loi pour le développement de la concurrence au service des consommateurs, dite "Loi Chatel" du 3 janvier (qui est parue au Journal officiel du 4 janvier 2008) n’a pas donné de garantie suffisante au consommateur.
Ainsi cette loi prévoit que :
« Les établissements de crédit seront tenus, à compter du 1er octobre 2008, de délivrer pour les offres de prêts à taux variable, une notice présentant les conditions et les modalités de variation du taux d'intérêt.
- pour les offres de prêts dont le taux d'intérêt est variable, comprendre une notice présentant les conditions et modalités de variation du taux d'intérêt et un document d'information contenant une simulation de l'impact d'une variation de ce taux sur les mensualités, la durée du prêt et le coût total du crédit. Cette simulation ne constitue pas un engagement du prêteur à l'égard de l'emprunteur quant à l'évolution effective des taux d'intérêt pendant le prêt et à son impact sur les mensualités, la durée du prêt et le coût total du crédit, mais elle a le mérite de fournir une information pertinente sur le risque encouru. Le document d'information mentionne le caractère indicatif de la simulation et l'absence de responsabilité du prêteur quant à l'évolution effective des taux d'intérêt pendant le prêt et à son impact sur les mensualités, la durée du prêt et le coût total du crédit.
Pour les prêts dont le taux d'intérêt est variable, le prêteur est tenu, une fois par an, de porter à la connaissance de l'emprunteur le montant du capital restant à rembourser. Cette obligation entre en vigueur le 1er octobre 2008 et s'applique aux contrats de crédit en cours à cette date.
A quoi s'ajoutera une simulation de l'impact d'une variation de ce taux sur les mensualités, la durée du prêt et le coût total du crédit. "
En cas de hausse de taux, la durée d'un prêt à taux variable est allongée, afin de maintenir la mensualité de l'emprunteur. Mais cette pratique revient à augmenter le coût total du crédit.
Chaque année, les emprunteurs à taux variable devront être informés du montant du capital restant à rembourser au prêteur. »
Le pauvre consommateur est pris en otage dans un système qui l'a obligé d’y adhérer (avec un taux variable) et ce pauvre se trouve exposé à un risque qui lui a été transféré par un banquier. Ainsi toute fluctuation de ce taux affecte directement le pouvoir de ce citoyen et affecte par conséquent sa solvabilité et sa capacité de rembourser sa dette. Avec la loi « Chatel » si le consommateur a les moyens de rembourser sa dette, il va le faire « à vie » !Pour protéger les citoyens contre cet abus de la part des banques, il a fallut que tous les contrats de crédit doivent être conclu à un TAUX FIXE, en faisant appliqué un principe de droit « la non rétroactivité de la loi ».
Et pour faire profiter le consommateur d’une variation à sa faveur cas de baisse du taux d’intérêt, il y lieu d’appliquer un principe de droit « l’effet immédiat de la loi ». car un consommateur est la partie faible du contrat.
Toutefois, en cas d’augmentation du taux de marché monétaire le taux doit être plafonné à un niveau raisonnable (exemple : la majoration ne peut pas dépassé 10% du taux initialement contracté, c'est-à-dire si vous avez signé sur un taux de 6% , la variation ne peut en aucun cas dépassé le 0.6% . et ainsi le taux ne peut dépasser en aucun cas les 6.6% pour toute au long de la durée du crédit) .
Par cette mesure, je suis certain que les banques ont les moyens et les compétences pour se protéger contre les risques de marché (les taux d'intérêt variable) alors que le pauvre consommateur ignore même la signification du TMM.
Il ne faut pas aussi oublier que les banques ont déjà intégré dans leur marge (l’exemple de 3%) (Le taux de l’inflation, le taux de non recouvrement).

mardi 10 mars 2009

Une crise économique ou une crise de reflexion

Au moment où la terre souffre d’un réchauffement sans précédent dans son histoire, l’économie mondiale a choisi la planète la plus glaciale où tous les chiffres tendent vers la baisse (à l’exception du taux de chômage).
Cette épidémie (crise financière) rafle chaque jour de plus en plus d’emploi et les dirigeants se précipitent pour profiter au maximum de cette situation et de faire passer leurs plans de restructuration.
Et malheureusement, personne n’a pas échappé à cet instinct des profiteurs des bonnes occasions. Ces profiteurs demandent chaque jour de plus en plus d’aide à l’Etat et met à la rue de plus en plus de chômeurs.
Et même le groupe numéro 1 du CAC 40 « TOTAL » qui a réalisé des résultats historiques en 2008 (plus de 15 milliards d’euro), il annonce le 10 mars 2009 un plan de restructuration pour faire licencier 550 employés.
Quelque soit les arguments avancé par les dirigeants du groupe « TOTAL » ou par les autres chefs d’entreprises. Il me semble que d’autres alternatives peuvent toujours exister sans passer par la plus douloureuse (le licenciement). Et au lieu d’adopter la plus facile (le licenciement), histoire de faire « des économies de réflexion », les dirigeants auront dus chercher d’autres moyens stratégiques et prospecter de nouveaux marchés pour sortir de la crise.
Ce que se passe chez « TOTAL » passe aussi chez d’autres entreprises, cet échange d’e-mail « réel » entre un directeur d’une société « MERE » et son directeur dans une « FILIALE » peut témoigner comment les dirigeants ont abordé cette crise.
Pour préserver le secret professionnel, on va admettre que M. « TAUREAU » est le directeur de la société « MERE » ET M. « POISSON » est le directeur de la société « FILIALE »….
Cette discussion se déclenche quant M. « TAUREAU » constate que la crise est là et il faut agir. Il décide donc d’envoyer un email à tous les directeurs des filiales :
- COMPTE TENU DE L’ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE DEGRADE ET DE PRESPECTIVES 2009 DIFFICILES IL FAUT PREPARER LES BUDGETS 2009 AVEC L’OBJECTIF DE DIMINUER L’ENSEMBLE DE VOS CHARGES D’EXPLOITATION D’AU MOINS « XX % ». IL EST EVIDENT QUE C’EST LE POSTE DE LA MASSE SALARIALE QUI VA ETRE VOTRE LEVIER NUMERO UN DANS L’ATTEINTE DE VOS OBJECTIF. NOUS SOMMES CONSCIENTS QUE CELA EST UN POSTE SENSIBLE MAIS IL Y VA DE NOTRE AVENIR ET MIEUX VAUT ANTICIPER.
MERCI DE VOTRE COMPREHENSION. NOUS ATTENDONS EN RETOUR VOS BUDGETS 2009 ET PLAN D’ACTIONS.


M. « POISSON » ayant d’autres visions sur la crise, essaiera de convaincre M. « TAUREAU » de changer sa position par un email suivant:
- Conscient de la crise économique mondiale actuelle, nous allons mettre tous nos efforts pour réaliser les objectifs fixées par le conseil d’administration. Ainsi depuis des années l’objectif était toujours d’optimiser les profits de la société toute en offrant une meilleure qualité de services à nos clients. Et malgré que le poste de frais de personnel en progression, les résultats de la société affichent des variations positives plus importantes. En effet, le personnel ce n’est qu’un outil de travail, s’il est bien entretenu (motivé), le rendement sera certain, la rentabilité se suit et les richesses des actionnaires s’accroissent par conséquent. Je ne propose pas une solution à la crise financière mondiale (même si je détiens certaines réponses), mais on peut participer à la préservation des intérêts de la société « MERE » comme toute autres gestionnaire du groupe. Un mini séminaire sera utile dans l’environnement actuel pour trouver des solutions stratégiques, opérationnelles et surtout pratiques.
N’ayant pas reçus de réponse à son email, M. « POISSON » va tenter de nouveau de convaincre M. « TAUREAU » en envoyant un autre email :
- « se préoccuper de la réduction des coûts quant la conjoncture est déjà dégradée, c’est presque trop tard. La réduction des charges doit être une préoccupation constante ». se focaliser uniquement sur les charges on atteint une partie de l’objectif, s’intéresser par la même occasion aux produits l’objectif sera totalement réalisé. L’objectif reste toujours la maximisation des profits de la société.
Réduire les charges c’est l’outil le plus facile à faire car il suffit d’arrêter les dépenses, mais augmenter les produits ça demande beaucoup de créativité, une permanente réactivité et une utilisation optimum des ressources dont on dispose.
Une étude approfondie de la crise économique actuelle démontre que malgré tous les indicateurs économique sont en baisse il reste toujours un champ d’action où la croissance existe en double chiffre.
Ainsi, l’achat en ligne et le développement du téléphone 3G mérite de la société « MERE » qu’elle exploite ces deux tendances et donne plus d’intérêt aux nouvelles technologies pour enrichir davantage son réseau de distribution.
*Pour développer les ventes par internet, il y a lieu d’atteindre un nombre important d’internautes, par le positionnement du site de la société « MERE » en 1ère page des moteurs de recherche (google, yahoo, msn ). Et comme ces moteurs de recherche ne fonctionnent pas de la même manière il y a des sociétés qui ont pu détourner les contraintes techniques par la création de plusieurs sites et c’est le cas de la société « X ».
*La création des visites virtuelle (3D) des nos produits peut inciter aussi les internautes à visiter le site de la société « MERE ».
*Le développement des téléphones 3 G et des IPHONE, mérite de la société « MERE » la création des sites optimisés pour le mobile et le commerce mobile « m-commerce » comme le cas dans société « Y » avec « Y.mobi ».
*Enfin pour mieux gérer l’activité de distribution sur internet, la création d’une société « MERE ON LINE » sera nécessaire en lui fixant des objectifs de vente de la même manière que nos distributeurs classiques, car « un site » c’est « un distributeur » mais à moindre coût et qui atteint plus de clients.
Ci-joint une étude du positionnement du site de notre société « MERE » par rapport aux mots- clés démontre que la société « MERE » se positionne mieux sur le moteur de recherche « msn » alors que ce dernier ne détient que « 3.4% » du marché alors que « google » et « yahoo » détiennent respectivement « 60% » et « 14% ».


A cet instant M. « TAUREAU » décida de répliquer et envoya l’email suivant :
- On te remercie, cela prouve l’intérêt que tu portes à notre activité. Cela dit, en plus d’essayer de faire progresser ou consolider nos ventes via des nouveaux canaux.
Il faut aussi être réaliste et considérer que la récession qui arrive touchera directement le consommateur et son pouvoir d’achat via internet ou pas.
Je vous ai déjà demandé de travailler sur un budget 2009 avec une réduction de charges d’au moins « XX% » sur périmètre et réalisé 2008 et cela peut se durcir vu l’état des ventes (voir +bas). Ce matin la bourse de Paris a ouvert à moins « X% ». Toutes les bourses Asie ont clôturé à la baisse.
Contrairement aux autres crises graves que nous avons connu (1er guerre du golfe, 11 septembre 2001) qui reposaient sur des éléments « tangibles » qui permettaient d’écrire des schémas de sortie de crise, celle-ci est totalement flou et le problème financier entraine en cascade les problèmes économiques etc…
Les ventes sur votre destination accusaient un retard de « XX % » A HIER SOIR !!!
Et la logique dès lors en termes de budget prévisionnel 2009 doit se caler sur ce chiffre.
Merci de votre attention.
Merci de cet intérêt et de ta compréhension.


Heureux d’avoir une réponse cette fois de M. « TAUREAU », et malheureux de ne pas pu le convaincre ; M. « POISSON » n’a pas baisser les bras et envoie un autre email :
- Si le peuple français a accepté la réalité il n’y aura plus de « révolution française de 1789 » et si le peuple italien n’a pas participer à « la renaissance » ; ce monde dont on vie ne sera plus le même.
Accepter la réalité c’est subir le destin. Un homme face à un cyclone il ne peut pas l’arrêter mais au moins i peut sauver sa vie et celle de ses proches.
Agir avec les mêmes moyens dans deux environnements complètement différents c’est qu’on a utilisé des outils non adéquats dans l’une des deux environnements.
Faire un effort sur la rubrique « charge » et garder les mêmes actions sur les « ventes », il y aura un déséquilibre.
Conscient qu’on est face à une crise sans précédent, et ne rien faire pour augmenter les produits c’est préparer le budget avec une baisse des charges de « XX % » et cela implique qu’on doit modifier les structures d’exploitation et non pas réduire juste les coûts d’exploitation.
Une structure pour « X » clients (en 2008) ne sera pas la même pour «Y » clients (prévision 2009) et de tel chute doit nous faire penser à la structure qu’on doit l’adopter.
Je pense que ; tant qu’il y a de la vie il y a de l’espoir.
Vous trouvez ci-joint un article sur internet susceptible de vous intéresser dans la mesure où il confirme ce que j’ai avancé à propos des opportunités offertes à notre société « MERE » pour surmonter la crise économique.
Et je pense, qu’il suffit de s’adapter à la conjoncture actuelle car « il ya deux façons de gérer les difficultés : les modifier ou s’adapter à elles ».
Merci pour votre écoute.

A ce moment là M. « TAUREAU » rappelle M. « POISSON » à l’ordre et demanda dans un email :

- Je te remercie mais occupons nous de nous en priorité. nous somme la société « MERE » et pas la société « Y » et notre problématique est différente.
Nous attendons un plan d’action crise très costaud de votre « FILIALE » à hauteur de la dégradation des vents sur votre destination soit à ce jour moins « XX % ».

Enfin M. « POISSON » se plie aux exigences de sa hiérarchie et exécuta les ordres.

Fin d’histoire …
… mais la vie continue sous l’ère glaciale ou le réchauffement climatique…. !!! Mais pour combien de temps ???

mercredi 25 février 2009

Après Kerviel, Madoff, et Stanford à qui le tour ?

Si la crise n’était pas là est ce que les agissements de Kerviel ou de Madoff ou de Stanford seront découverts ? Est ce le marché financier en connaissance d’autres méthodes qui sont courantes « mais suspect » que le grand public l’ignore enocore ?
Comment peut on expliquer que la confiance n'est pas rétablie et le marché des prêts interbancaires restait quasiment inexistante lundi 6 octobre 2008, bien que les injections répétées de liquidités effectuées par les banques centrales aient permis à certains taux d'intérêt de redescendre à un niveau plus proche des taux directeurs. "Il y a beaucoup de liquidités pour les échéances à court terme, mais pas au-delà", résume un trader sur les marchés monétaires à Dublin. "C'est complètement gelé. On ne travaille pas. On ne fait que prendre des positions", a-t-il ajouté.

Théoriquement les investisseurs abhorrent l'incertitude. Et depuis le début de la crise, ils naviguent à vue. Admettant que toutes banques du monde entier ont investi dans des titres adossés au marché du subprime et cela peut provoquer d'importantes pertes, Mais est cela peut causer de telles « méfiances »?
Le marché, qui regorgeait de liquidités, s'est subitement asséché, "Pourquoi personne ne parvient à localiser la faille ? Est ce qu’il y a quelque chose qui se cache encore ?

L’affaire Stanford :
L’affaire se déclanche le 17 février 2009 elle porte sur un montant de 9,2 milliards de dollars d'actifs. La Stanford Group Company, basée à Antigua, aurait vendu pour 8 milliards de dollars de certificats de dépôts en promettant des rendements "improbable"; la Stanford Group Company (SGC), basée à Houston, serait elle un centre d'une fraude liée à la vente pour 1,2 milliard de dollars de parts d'un fonds commun de placement dont les performances auraient été falsifiées.
Allen Stanford âgeé de 58 ans, il faisait figure de notable, riche et récemment consacré "capitaliste philanthrope" par le magazine World Finance. Réputé pour son amabilité, il a été anobli à Antigua, une île dont il possède la nationalité.

L'affaire Madoff :
Bernard L. Madoff, est un homme d'affaires américain et le président-fondateur d'une des principales sociétés d'investissement de Wall Street : Bernard L. Madoff Investment Securities LLC. Le 12 décembre 2008, Madoff est arrêté et mis en examen par le FBI pour avoir réalisé un montage financier frauduleux, une chaîne de Ponzi[1], qui pourrait avoir entraîné la perte de 50 milliards USD[.

L’affaire Kerviel :
Le 24 janvier 2008, le président de la Société générale, M. Daniel Bouton, annonce une perte de 7,1 milliards d'euros[]. Les dirigeants de la banque ont présenté cette perte comme étant, pour 4,82 milliards[], le résultat d'une fraude due à un seul trader[] qui aurait créé « une entreprise dans l'entreprise », dont elle indique plus tard le nom, Jérôme Kerviel, et pour 2,2 milliards des dépréciations d'actifs (CDO) dues à la crise des subprimes.